Particulière à bien des égards, l’année 2021 a permis à Hyundai Maroc d’atteindre une part de marché record de 7,8%. La marque sud-coréenne s’est ainsi hissée en troisième position du marché automobile national pour la deuxième année consécutive.
Dans un contexte sanitaire et économique difficile, Hyundai Maroc s’en sort très bien, en enregistrant un record de ventes. A fin 2021, la marque a livré un total de 13.600 véhicules, soit une progression de 41% par rapport à 2020, s’inscrivant ainsi dans la tendance générale du marché qui a enregistré une évolution de 32%.
Ainsi, pour le deuxième exercice consécutif, Hyundai s’est hissée à la troisième position des marques automobiles les plus commercialisées dans le Royaume. La marque a également réalisé une part de marché record sur les cinq dernières années, à 7,8%.
«2021 fût surprenante pour tous. Dans un contexte de crise sanitaire et économique, les résultats de Hyundai au Maroc sont très positifs, en particulier notre performance sur le segment des SUV», indique Oussama Berrada Gouzi, directeur général de Global Engines, importateur exclusif de la marque Hyundai sur le marché marocain.
La performance de Hyundai Maroc s’explique principalement par le renouvellement de l’ensemble de sa gamme de véhicules particuliers à savoir i10, i30, Accent, Creta, Tucson et Santa Fe, ainsi que le renforcement de sa gamme Hybride avec l’introduction d’une version exclusive de la berline Sonata Hybrid équipée de toit à panneaux solaire et le lancement du SUV compact Kona Hybrid.
S’agissant des SUV, premier segment du marché automobile marocain en 2021, Hyundai occupe la première marche du podium des ventes grâce à une gamme innovante et diversifiée avec de nouveaux designs dynamiques et modernes ainsi qu’une technologie avancée pour répondre aux besoins de toute sa clientèle.
«Les performances exceptionnelles enregistrées en 2021 sont de bonne augure pour Hyundai et nous permettent d’aborder 2022 avec confiance grâce aux nombreuses nouveautés que la marque lancera dans les semaines à venir», affirme Oussama Berrada Gouzi.
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